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l’univers de salma erguiague.♥ accueil l’acceuil bienvenue salma erguiague archives octobre 2009 août 2009 juin 2009 salma erguiague vous souhaite la bienvenue. nos jours juillet 2019 l ma me j v s d « oct 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 recherchez aussi : - sudoku facile - poème mere - sudoku très facile - sudoku difficile - poeme grand mere .. catégories histoires (6) la combe et les cirques à sixt (1) la foire marocaine (1) les fermes à sixt (1) poèmes de la maman (7) sudoku difficile (3) sudoku facile (1) (4) sudoku moyen (4) sudoku très facile (1) (4) vous êtes le visiteur n: commentaires récents lire dans la combe et les cirques à sixt souma dans la foire marocaine salma erguiague dans sudoku difficile sudoku dans sudoku difficile zhara dans l’acceuil ne partez pas sans laissez un commentaire . merci pour la visite articles récents les fermes à sixt la combe et les cirques à sixt la foire marocaine cendrillon la belle au bois dormant le petit chaperon rouge le loup et les sept chevreaux hansel et gretel blanche-neige sudoku difficile vous devez être connecté à votre compte pour me contacter album : images visiteurs il y a 1 visiteur en ligne pages l’acceuil bienvenue votre avis ! disez-moi la vérité.quelle note pouvez-vous donner à ce blog? 10/10 9/10 8/10 7/10 6/10 5/0 4/10 3/10 2/10 mal voir les résultats chargement ... ça! c’est pour moi inscription connexion flux rss des articles rss des commentaires 12 juin 2009 pour toi maman posté dans poèmes de la maman par salma erguiague à 6:02 | pas de réponses » choisissez un poème: la merveille supermaman pour ma mère ouvre grand ta fenêtre maman ! ma maman maman printemps fête-des mères 17 oct 2009 les fermes à sixt posté dans les fermes à sixt par salma erguiague à 6:39 | pas de réponses » les fermes à sixt pages réalisées par : hoegen laure elie, rebeix c. , lugeon emeline les fermes autrefois cette partie est tirée du livret : »l’art de bâtisseurs du giffre » édité en 1994 par l’association des amis de la réserve naturelle de sixt. sixt s’organise autour de son abbaye créée en 1144. les chanoines font appel à des colons venus défricher les grandes forêts et cultiver les terres ainsi dégagées . de petits villages se fondent le long des axes de pénétration des montagnes : salvagny , le fay , passy , nambride , le molliet , le crot , le charny , le mont. on imagine ces hommes occupant les sommets et les hauteurs des versants de la vallée, à l’abri des débordements du giffre , et se protégeant des rigueurs du climat et du danger des bêtes fauves peuplant les forêts . ils ont dû adapter leur mode de vie et tenter de domestiquer la nature. défrichage , endiguement des torrents , lutte contre les avalanches et les inondations. ils choisissaient leurs lieux d’habitation en fonction de l ‘observation des phénomènes naturels : facilité d’accès , ensoleillement, absence de vents et de courants d’air, présence d’une source d’eau , éloignement des risques (crues, glissements de terrain, couloirs d’avalanche . . .) l’entraide était de mise : pour faire face aux rigueurs de la vie en montagne, les voisins, les familles s’unissaient. les maisons étaient suffisamment proches les unes des autres, on parle d’habitat » groupé desserré » pour qualifier ce type de villages autonomes, presque indépendants les uns des autres. les travaux des saisons rythment la vie quotidienne : l’été on cultive les champs pour assurer l’alimentation et le commerce, l’hiver on entretient les fermes et on exploite la forêt. la terre cultivable n’est pas suffisante : on défriche partout et on exploite les moindres lopins, même les plus pentus et les plus escarpés. devenue française après l’annexion de 1860, la savoie va connaître la crise du monde rural avec la désertification progressive des zones montagneuses au profit des villes. la population décroît presque de moitié ; les villages qui concentraient 80% de la population paysanne, ont vu leurs habitants descendre vers les bourgs, se rapprocher des commences, des services, de la mairie , de l’école . . . les fermes des villages ont pour beaucoup d’entre elles ont été transformées en résidences secondaires, alors que des immeubles (suite…) 17 oct 2009 la combe et les cirques à sixt posté dans la combe et les cirques à sixt par salma erguiague à 2:42 | 1 réponse » la combe et les cirques à sixt un cirque forme un arc de cercle avec des parois ou des falaises verticales et lisses. il y a deux cirques à sixt: le cirque du fer à cheval au nord – est du village dont la base est à 982 mètres et le sommet des falaises à 1500 ou 1600m , il y a donc 500 à 600m de dénivelé. son diamètre est d’environ 2 km. le cirque des fonts au sud-est du village dont la base est à 1500m et le sommet des falaises à 2000 ou 2100m, il y a donc aussi 500 à 600m de dénivelé. son diamètre est d’ environ 1.3 km. ces deux cirques étaient le point de naissance de deux gigantesques glaciers il y a 40 000 ans. la neige dégoulinant des sommets s’ accumulait en bas des parois et se transformait en glace par tassement. ces glaciers avaient plus de 1000 mètres d’épaisseur et rabotaient les parois (suite…) 30 août 2009 la foire marocaine posté dans la foire marocaine par salma erguiague à 3:19 | 4 réponses » les actrices marocaines les chanteuses marocaines certains tableaux marocains source :elghilak certains moniments historiques au maroc 14 juin 2009 cendrillon posté dans histoires par salma erguiague à 9:58 | 2 réponses » choisissez une histoire dans le menu si dessous: *cendrillon *la belle au bois dormant *le petit chaperon rouge *le loup et les sept chevraux *blanche-neige *hansel et gretel cendrillon temps: 18′ u n homme riche avait une femme qui tomba malade; et quand celle-ci sentit sa fin prochaine, elle appela à son chevet son unique fille et lui dit: «chère enfant, reste bonne et pieuse, et le bon dieu t’aidera toujours, et moi, du haut du ciel, je te regarderai et te protégerai.» puis elle ferma les yeux et mourut. la fillette se rendit chaque jour sur la tombe de sa mère, pleura et resta bonne et pieuse. l’hiver venu, la neige recouvrit la tombe d’un tapis blanc. mais au printemps, quand le soleil l’eut fait fondre, l’homme prit une autre femme.la femme avait amené avec elle ses deux filles qui étaient jolies et blanches de visage, mais laides et noires de coeur. alors de bien mauvais jours commencèrent pour la pauvre belle-fille. «faut-il que cette petite oie reste avec nous dans la salle?» dirent-elles. «qui veut manger du pain, doit le gagner. allez ouste, souillon!» elles lui enlevèrent ses beaux habits, la vêtirent d’un vieux tablier gris et lui donnèrent des sabots de bois. «voyez un peu la fière princesse, comme elle est accoutrée!» s’écrièrent-elles en riant et elles la conduisirent à la cuisine. alors il lui fallut faire du matin au soir de durs travaux, se lever bien avant le jour, porter de l’eau, allumer le feu, faire la cuisine et la lessive. en outre, les deux soeurs lui faisaient toutes les misères imaginables, se moquaient d’elle, lui renversaient les pois et les lentilles dans la cendre, de sorte qu’elle devait recommencer à les trier. le soir, lorsqu’elle était épuisée de travail, elle ne se couchait pas dans un lit, mais devait s’étendre près du foyer dans les cendres. et parce que cela lui donnait toujours un air poussiéreux et sale, elles l’appelèrent cendrillon. il arriva que le père voulut un jour se rendre à la foire; il demanda à ses deux belles-filles ce qu’il devait leur rapporter. «de beaux habits,» dit l’une. «des perles et des pierres précieuses,» dit la seconde. «et toi, cendrillon,» demanda-t-il, «que veux-tu?» – «père, le premier rameau qui heurtera votre chapeau sur le chemin du retour, cueillez-le pour moi.» il acheta donc de beaux habits, des perles et des pierres précieuses pour les deux soeurs, et, sur le chemin du retour, en traversant à cheval un vert bosquet, une branche de noisetier l’effleura et fit tomber son chap